°°Entrer au Dojo°°

Et voilà qu'enfin j'avançais vers ce dojo dans la douceur des jardins japonais. Je me suis rapidement retrouvé devant deux gardes, l'un d'entre eux me fit un sourire, que j'eue dans un premier temps, du mal à comprendre. J'ai préféré m'avancer vers l'autre :

(moi)-Je cherche à rencontrer Orishii, pouvez-vous m'escorter à la salle principale?
(G1)- Et pourquoi tu veux le voir toi?
(moi) -Il me semble vous avoir vouvoyer, je vous demande de faire de même, en ce qui concerne mon entretien, celà ne vous regarde en rien..
(G2) : allez on l'emmène il a l'air serieu...
(G1) : Je te connais de nom gueule d'ange, je t'emmène au maitre mais sache qu'à partire d'aujourd'hui tu as trouvé en moi un ennemi.
(moi) : bah c'est bien !

En allant vers la salle principale, je sentis la main d'un des gardes (celui avec le sourire) sur mes fesses, ravalant mon écoeurement (afin de ne pas me mettre ce garde là à dos non plus... En même temps c'est grace à lui que je peux rencontrer le maître) je continais à avancer sans mot dire. Il me laissairent devant la porte d'une grande salle...

[Appartement de Lilith]

J’entrai avec soulagement dans le dôjo climatisé. Enfin un peu de fraîcheur ! Je m’apprêtai à entrer directement quand un garde m’arrêta.

« Qu’est-ce qu'tu veux ? ! »

Génial … Je ne pensais pas commencer mon petit numéro si tôt … Et en plus avec un balourd aussi peu galant ! J’entrouvris légèrement mon manteau, laissant voir ma tenue, plus que sexy et lui adressai un sourire enjôleur.

« J’viens pour du … boulot ! »

Ma voix était suave, appuyée d’un jeu de sourcil et de sourire et je sentis le regard de l’homme glisser sur mon corps.
Il grogna –de satisfaction ?- et me désigna une grande porte à l’autre bout du bâtiment.

« Va voir Angelo, c’est lui qui recrute. Il se balade dans les jardins ! »

Hum … Les jardins … Quel charmant lieu de rencontre !
Je suivis son regard et me dirigeai lentement vers l’extérieur, faisant onduler mes hanches langoureusement. J’imaginai ses prunelles vides de toute étincelle d’intelligence suivant la danse entêtante de mon corps.

*Quel abrutis ! J’suis trop bien pour toi, mon gars, faudra t’y faire !*

[Jardins]