Lilith, la démone au regard d'ange.

Ayé ! Finie

Nom d’origine : Doe
Prénom d’origine : Jane

Nom japonais : Motona
Prénom japonais : Yumi

Surnom : Lilith

Sexe : Féminin

Age : 20 ans

Date de naissance : 18 Mars 1986

Taille : 1m67

Poids : 54 kg

Clan : Neutre

Physique :
A ma naissance, j’étais une adorable petite fille blonde. Mes grands yeux bleu clair et mon air angélique m’ont toujours valu la confiance des adulte durant mon enfance.
Aujourd’hui âgée de 20 ans, je n’en fais pourtant que 16 ou 17. Il paraît que cela plaît aux hommes … Ils aiment les femmes-enfants ! Je ne suis pas très grande ni trop petite. Je suis plutôt fine même si je pourrais avoir le ventre bien plus plat et un peu moins de chair sur mes poignées d'amour. Dans la moyenne quoi !
Mais, surtout, je suis jolie. Tout le monde le reconnaît. Des traits fins, une peau parfaite, des formes avantageuses. Seulement, voilà. Je ne suis pas belle.
Je suis de celles dont on ne retient ni le visage ni le nom. Quand les hommes passent devant moi, dans la rue, ils se disent « Plutôt mignonne la p’tite ! » et m’oublient l’intersection d’après. Ceux qui me draguent utilise invariablement la même rengaine : « On se serait pas déjà croisé ? ! J’ai l’impression de vous connaître ! ».
Il serait injuste de dire que ce visage commun m’a desservit, bien au contraire ! Cependant, j’aurais tellement préféré qu’on me remarque, que je sorte du lot !
Mais non. J’ai toujours été commune. Jolie, mais commune.
Mais il faut savoir tirer partie de ses faiblesses et je suis devenue une experte dans l’art de me déguiser. Mes cheveux et mes yeux changent de couleurs presque tous les deux jours, des grains de beauté apparaissent et disparaissent sur mon teint pâle d’occidentale.
Ma plus grande fierté et réussite fut de me faire embaucher puis virer cinq fois, dans le même magasin, sous cinq identités différentes, en une semaine !

Caractère :
J’ai décidé que jamais rien ne pourrait m’atteindre et que pleurer ne servait à rien à l’âge de 12 ans. A partir de ce moment-là, je suis devenue moi-même. Je n’ai jamais l’air triste et lorsque des sentiments obscurs m’envahissent, je ne les montre jamais. Toujours souriante, je peux paraître insouciante mais c’est juste une façon de vivre. Je suis profondément optimiste mais je me dis que le beau temps viendra toujours après la pluie alors je préfère rire plutôt que pleurer ! Il paraît que cela rend ma compagnie plaisante mais que, à la longue, cela désoriente les gens. Je m’en fiche ! La vie est trop courte pour se laisser influencer ! Je suis aussi une éternelle bavarde et les silences m’effraient ! Je préfère donc parler de n’importe quoi plutôt que de me taire. On pourrait me qualifier de pétillante si je n’étais pas profondément anti-conformiste, faisant toujours ce à quoi les gens s’attendent le moins. Le mensonge est devenu ma ligne de conduite et il est très rare que je dise ce que je pense réellement. Les gens me prennent pour une petite écervelée et ils n’ont certainement pas tort. Je suis très attachée à l’apparence physique et à la beauté en général. Mais, pour moi, même un grand brûlé pourrait être beau pourvu qu’il dégager quelque chose. J’aime aller plus vite que la musique et l’inaction m’ennuie au plus haut point. Je suis assez friande des plaisirs de la chaire mais je ne supporte pas que les hommes me traitent comme un objets. Je suis une jeune femme et j’en suis fière !

Loisirs :
J’essai de m’intéresser à tout et je n’ai aucun loisirs en particulier. Curieuse, je suis une véritable touche-à-tout, capable de m’adonner aux arts comme aux sports en tout genre. Je fais ce que j’ai envie au moment où j’en ai envie. J’ai particulièrement errer dans les rues de la ville et regarder le visage des passants.

Signe particulier :
J’ai une cicatrice en forme de croissant de lune renversé dans la nuque mais je suis absolument incapable de vous dire d’où elle vient ! Quand je suis arrivée au Japon, je me suis fait tatouer et j’ai ainsi un dragon stylisé et une fée sur le corps. L’un, la fée, sous le sein gauche et l’autre, le dragon, juste au-dessus de la fesses droites. Vous me direz, pour quelqu’un qui aime changer de tête, ces signes distinctifs sont assez gênants ! Mais ils ont assez discrets pour être camouflés par un vêtement, un bijou quelconque ou une bonne couche de fond de teint !

Autre signe particulier, je pratique une technique de combat très particulière, mêlant art martiaux et lutte de la rue en passant par la boxe. Je conserve une quantité incroyable d’armes de toutes sortes chez moi (du sabre japonais à la mitraillette en passant par le colt et le poignard) mais je ne me balade généralement qu’avec un petit couteau ou un revolver. Car, dans cette ville, un homme sans arme est un homme mort …

Histoire :
Mon histoire n’est pas banale et même plutôt compliquée … Mais je vais essayer de faire simple !
Je suis née le 18 mars 1986 aux environs de New York. Où exactement ? Je l’ignore et je m’en fiche pas mal ! Tout comme l’identité de mes parents biologiques … Je crois qu’il y a des choses qu’il vaut mieux ne pas savoir.
Qui s’est occupé de moi après ma douloureuse et miséreuse naissance ? Voilà encore un des mystères de ma vie ! A vrai dire, avant mes trois ans, je n’ai aucun souvenir. Me reviennent juste en mémoires les relents putrides des bas quartiers.
C’est alors que j’entamais cette fameuse troisième petite année de vie sur cette terre que je rencontrais ma première famille.
C’était une bande de voyous du Bronx. Ils m’avaient trouvé mignonne et m’avait recueillis. Le plus âgé devait avoir 17 ans et il n’y avait qu’une seule fille parmi eux. On peut dire qu’elle fut ma grande sœur et ma mère à la fois puisque c’est elle qui m’a tout appris en manière de féminité. Elle avait un problème de hanches et boitait d’où le surnom que les maquereaux lui donnaient « La pute cassée ». Ils ont dû penser que, avec une autre fille dans leurs rangs, les trafics marcheraient mieux. Mais, petit à petit, ils se sont attachés à moi. Et jamais il n’ont laissé quelqu’un de malveillant m’approcher ! C’est avec eux que j’ai expérimenté mes premiers combats de rue.
Je suis passé au travers des mailles du filet de l’assistance sociale jusqu’à l’âge de 10 ans, date à laquelle une association humanitaire chrétienne me repêcha et m’enferma dans un orphelinat. Ils tentèrent vainement de faire ressortir ma piété mais c’était peine perdue. Parce que, mon Dieu, c’était la rue !
Je suis restée deux ans dans cette prison, à me battre, griffes et dents, pour ma liberté. En y repensant, je crois que l’enfer biblique aurait été préférable.
J’avais douze ans lorsque je rencontrais Mr Motona pour la première fois. J’avais entamé mon énième fugue et je flânais dans les rues sombres des quartiers mal famés. Il devait être là pour affaires et nos chemins s’étaient croisés. J’en garde, pour ton souvenir, la haute silhouette de cet homme et son regard énigmatique. Il m’avait accosté, étonné. Et, du haut de ma douzaine d’année et de mon petit mètre cinquante, je lui avais répondu, l’air bravache. Il avait éclaté de rire et m’avait prise en photo. Il m’avait, ensuite, baragouiné une phrase en japonais que je n’ai jamais comprise. Puis, une de ses gardes du corps m’a expliqué qu’il voulait m’emmener. Il me faisait un peu peur mais il avait l’air gentil. Et j’avais enfin une occasion de quitter l’orphelinat. J’ai dit oui.
Aujourd’hui encore, la photo de la gamine efflanquée et estomaquée que j’étais est glissé dans mon porte-feuilles.
Voyant que je n’avais jamais fréquenté aucune école, il entreprit de faire mon éducation. A présent, je suis complètement bilingue et je parle un peu le chinois, le français, l’allemand, l’italien et l’espagnol.
Mr Motona a fait de moi ce que je suis aujourd’hui et il m’a offert tout ce dont je pouvais rêver.
Estimant que Jane Doe (nom qui m’avait été donné dans l’orphelinat du fait qu’on ignorait totalement mon identité et que c’est l’usage américain employé pour « Madame X ») ne sonnait pas assez bien à son goût, il me renomma Yumi et m’adopta.
J’ai vécu à ses côté jusqu’à sa mort et je peux même me vanter d’avoir été assez proche de lui même s’il ne m’a jamais parlé affaires.
J’était son flocon de neige, sa goutte de pluie, son rayon de soleil, sa fleur de cerisier, sa démone au visage d’ange. D’où le surnom qu’il me donnait, en hommage à la première femme d’Adam dans la religion occidentale : Lilith.
Ce surnom m’est resté et, après son enterrement, j’ai décidé de le conserver.
Ignorant vers quel clan me tourner, je me fis embaucher comme espionne au service de Mr Kowaru. Cela me permet de suivre en parallèle les deux idéologies et de choisir la plus à même de succéder à mon regretté Mr Motona.

Yosh oui bienvenu enfinnnnnnnnnnnnnnn!!
Mais juste un gtruc que je vien de réaliser, nos persos se connaissent alors puisque tu es la fille adoptive de Motona et moi le fils de Oroshii...Mais il ne se connaissent pas énormement juste de vue quoi...juste la petit précision alors ^^
aller v ajouer maintenant XD

AH BON ?!
Grml ...
Je n'avais pas penser à ça XD
Hum ... On va prier pour que tu ne me reconnaisses pas avec ma perruque :p

Oue bon en meme temps, c'est Kyo...bon il va peu etre s demander mais bon ca s'arrete la ^^